Josy Peukert, une globe-trotteuse allemande, a récemment fait le buzz et créé la controverse après avoir donné naissance à son bébé dans la mer, au Nicaragua. Cet accouchement restera gravé à jamais dans la mémoire de la maman de 37 ans, qui s’est sentie plus libre que jamais.
En février dernier, Josy Peukert a posté une vidéo peu commune d’elle donnant naissance à son fils sur le littoral nicaraguayen. Dans un premier temps, on perçoit la globe-trotteuse allemande, accroupie dans la mer, avoir des contractions tandis que les vagues clapotent doucement dans son dos. Ensuite, on la voit, sourire aux lèvres, avec son fils, Bodhi Amor Ocean Cornelius, dans les bras.
Pour la mère de quatre enfants, cet accouchement restera à jamais gravé dans sa mémoire comme le meilleur, le seul qui s’est déroulé sans problème. Lors des trois précédentes naissances, Josy avait connu quelques difficultés. Surtout lors de la première, qui a eu lieu dans une clinique et qui a été particulièrement traumatisante pour elle. “La deuxième naissance a eu lieu à la maison, pareil pour la troisième. Même une sage-femme, c’était trop pour moi”, ajoute-t-elle.
Il se porte bien
Cette fois-ci, aucune sage-femme ni aucun médecin n’est intervenu. Seul son mari, Benni Cornelius, était présent avec elle sur la plage Paya Majagual. “Je n’avais aucune crainte. C’était magnifique. Le sable volcanique m’a rappelé qu’il n’y a rien d’autre entre le ciel et la terre que la vie.”
Après la publication de la vidéo sur son compte Instagram, Josy a reçu une salve de commentaires, tantôt positifs, tantôt négatifs. Certains internautes se sont demandés si cette méthode d’accouchement était saine pour le bébé, hygiénique. En réponse, la mère de famille a assuré que son fils se portait très bien et que toutes les mesures nécessaires avaient été prises. “J’ai fait des recherches pour m’assurer que c’était sans danger pour moi et le bébé. Je voulais me sentir complètement connectée par mes propres soins. Cette grossesse a été le plus beau des cadeaux que nous aurions pu imaginer”, conclut Josy
