Une Maman raconte :
Avant d’avoir des enfants, j’ai entendu de nombreuses mamans et de nombreux couples dire… « Nous avons terminé ! » lorsqu’ils avaient un, deux ou trois enfants. Et je me suis toujours demandée comment ils le savaient ? D’où venait cette certitude ? Avec le temps, j’ai appris la réponse.
J’étais cette personne qui « ne voulait pas d’enfants »… jusqu’à ce que j’aie 35 ans. L’année où je me suis mariée. Ensuite, mes pensées sur le sujet ont changé. J’ai eu mon premier enfant à 37 ans et je me suis dit « Ouf ! Je l’ai fait avant d’être trop vieille ». Puis, nous avons été ravis (bien qu’un peu nerveux) lorsque j’ai eu mon deuxième enfant à 40 ans. Nous n’avions pas décidé d’être finis, mais nous pensions que Mère Nature avait décidé pour nous. Mes médecins m’ont dit que j’avais moins de 1 % de chances de concevoir à nouveau, et j’étais triste à ce sujet, mais je me sentais chanceuse parce qu’à ce stade, j’avais déjà un fils et une fille.
Fait : nous ne nous sentions pas finis. Je me demandais encore comment les autres mères « savaient qu’elles avaient fini d’avoir des enfants ». Puis, nous avons été TRÈS surpris d’apprendre que j’attendais mon troisième enfant à l’âge de 42 ans.
Et nous n’avions toujours pas l’impression d’avoir terminé. Pourtant, plus d’un spécialiste nous a dit : « Vous avez définitivement terminé ». Je savais que j’étais trop vieille pour avoir un autre bébé, mais je ne me sentais pas encore prête. Nous avons donc fait une demande pour « accueillir/adopter » un enfant. Nous avons passé les tests et l’entretien à domicile. Alors que nous nous préparions pour les dernières étapes du processus, j’ai découvert que j’attendais mon quatrième enfant. À l’âge de 46 ans. (Nous avons décidé de retarder l’adoption, mais entre-temps, nous avons dépassé l’âge combiné de la mère et du père).
Après le quatrième bébé, mon mari et moi savions que nous avions terminé. J’ai arrêté d’imaginer ce que serait un autre enfant. Comment pourrais-je l’appeler ? Me ressemblerait-il ou ressemblerait-il à Pete ? Aurait-il les yeux bleus ou les yeux bruns ? Je n’ai plus imaginé d’autres enfants. Mes mains étaient pleines, mon cœur était plein, et ma vie était pleine. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris les mots que j’avais entendu d’autres parents prononcer. Je me suis entendu les prononcer moi-même. « OOOOHHHH, nous sommes FAITS, nous sommes parfaitement heureux et parfaitement bénis ! » Il y a vraiment un moment, et cela peut être après 1 ou 2 ou 3 ou plus… où vous savez simplement dans votre cœur. L’aspiration à plus se termine et la concentration sur le « mode croissance » se termine… vous vous installez dans le travail joyeux de la famille.
Mes quatre bénédictions :
source Quora
