Être maman, c’est quelque chose de magnifique et difficile à la fois. Offrir la vie, c’est tout ce qu’il y a de plus précieux dans ce monde. Les mères n’ont plus le temps de se faire chouchouter, notamment dans la salle d’accouchement car tout ce qui importe c’est l’arrivée du bébé sain et sauf. Entre, contraction et le stress à l’idée d’avoir un bébé, tout le monde se concentre à ce moment unique. Pourtant, ces derniers temps, on constate que de plus en plus de femmes enceinte sur le point d’accoucher se prennent en vidéo et se maquille. Est-ce la nouvelle tendance de l’année ? On vous répond dans ce rapport.
Les réseaux sociaux ont instauré de nouveaux styles de vie ces derniers temps et internet ne cesse de nous surprendre. La Toile transforme presque toutes les étapes de la vie en quelque chose s’amusante. L’accouchement serait même glamourisé. Effectivement, de plus en plus d’influenceuses, blogueuses et youtubeuses ont donné le ton à ce moment stressant. Adieu le visage tout pâle lors de l’accouchement car les mamans en salle d’accouchement se font belle, même au jour J. Lors du jour d’accouchement, de plus en plus de mamans en devenir se maquillent sur le lit d’hôpital. Certaines sont d’accord et imitent même la tendance, mais d’autres sont contre cette idée.
Tendance : une séance de maquillage avant l’accouchement
À cette ère, le diktat de la beauté s’instaure dans un monde le plus inattendu. Les technologies ont fait pression et les femmes enceintes partagent leurs journées avant d’accoucher sur Instagram et d’autres réseaux sociaux. L’idée suscite une tollé car certains pointent du doigt la nouvelle tendance.
A en croire une étude récente initiée par Cosmetify, 64 % des femmes d’entre 18 à 31 ans se font maquiller avant l’accouchement. 65 % d’entre elles font une séance d’épilation ; 57%, choisissez de se faire une manucure; 43 % d’entre elles optent pour de la pédicure ; 37 % préfèrent du bronzage par pulvérisation et 32 % veulent du brushing. Le make-up n’est pas en reste.
Les raisons du maquillage avant d’accoucher
Est-ce un excès de coquetterie ? D’une part, c’est le cas mais pour d’autres, elles trouvent un bien meilleur argument. On sait que le maquillage est loin d’être une propriété lors de l’accouchement. Portant, certaines femmes préfèrent marquer leur féminité à tout prix. Aussi, il y a une théorie qui en est la cause de cet agissement. On le sait tous, l’accouchement vient avec angoisse et stress en plus des douleurs ressenties par la mère. Ce symbolique de l’accouchement est perturbant en soi et c’est aussi un phénomène déstabilisant. Mais certaines femmes auraient découvert une issue qui leur permet de se soulager et de mieux gérer la situation : le maquillage. En réalité, c’est un maquillage thérapeutique.
Il n’est pas rare de croiser des femmes enceintes maquillées ces derniers temps. Certaines aiment rester discrètes même avec des maquillage, mais d’autres préfèrent arborer des lèvres bien colorés. Elles ne lésinent pas sur le make-up en ayant à portée de main leur trousse de maquillage bien pleine.
Bien que considéré comme extravagant pour certains gens, se maquiller serait une sorte d’issue pour oublier, même un instant, les douleurs et les peurs.
Maquillage avant l’accouchement : bien au delà de l’apparence
Ces femmes considèrent le maquille comme une distraction face aux douleurs et aux contractions qu’elles devront endurer.
De plus, le maquillage fait partie de leur vie quotidienne et pourquoi s’en privé àfce moment précis. Plusieurs d’entre elles estiment que le fait de rester belle est très important lors de l’accouchement. L’idée est de rester fidèles à elles-mêmes quelles que soient les circonstances.
L’opinion des révoltes
D’autres catégories de personnes sont contres cette idée nouvelle. Selon plusieurs réponses négatives sur cette tendance excentrique, l’important est de se concentrer à la santé et au bien-être du nouveau-né. Ils s’accordent pour dire que toit le reste suivra après, du moins les maquillages. Le maquillage reste superficiel et ne devrait en aucun cas prendre le dessus.